Je suis la distance entre la puissance téléologique et le magma logique de la Platitude Extinguible.
Je suis la distance, l’après-les-choses, oh, l’après-les-heures, tirebouchon et décapsuleur.
Je suis miraculeux, un cul réel ;et quel, quel à jamais, assis sous toi, anachorecte, là !
Un spectre cosmique soutenu par la force-portante de l’Hémoglobine.
Je suis la distance, ma distance du cul, caché dans le feux de ton et de mon méridien,
Sacredieuble, je m’expelle, je me libre, dieuble, fais-moi sous le cadran solaire,
Je suis l’inaccessible segmente du cul, le contact de la déception,
L’écriture de la kénosis, le champ du morphème universel
L’apparition de la chair, l’hexagramme du cul,
De ta concupipiscence, la machine-à-moulure
De toutes mesures, de ta mesure, ça là là ça et là
Le champ magnétique, l’objet « a » de ton
Braquemart, forfait de jouvence par impulsion-amplexe
Virale cosmogonie ingérée et là, esprit du Système
Fesses et Kénosis de la bitte du poète
Ultrafesses nipponnes, géologie du méridien de Hokkaido
Cul-jeans-zo du Sexe posthume ça-là-là.
Cul-jeans-zo du Sexe posthume ça-là-là.